Version française / Séminaires
CORINNA GEPNER, traductrice
Publié le 11 janvier 2022
–
Mis à jour le 8 mars 2022
La subjectivité du traducteur
Date(s)
le 18 mars 2022
16h-18h
salle 210
salle 210
Dans l'esprit de beaucoup, le traducteur et la traductrice sont des figures "invisibles", qui s'effacent pour faire vivre un texte qui est l'œuvre d'un ou
d'une autre — un auteur.e, l'auteur.e. Pourtant, c'est bien lui ou elle qui donne corps au texte dans une autre langue, qui l'incarne en mobilisant sa
réceptivité, sa culture, ses moyens linguistiques. Bref, sa subjectivité.
Le séminaire sera l'occasion d'explorer plus précisément la nature de cette subjectivité mise en oeuvre par l'auteur. particulier.e qu'est le traducteur, et la façon dont cette subjectivité peut être travaillée pour devenir un instrument littéraire.
Discutante / Dorothée Cailleux
d'une autre — un auteur.e, l'auteur.e. Pourtant, c'est bien lui ou elle qui donne corps au texte dans une autre langue, qui l'incarne en mobilisant sa
réceptivité, sa culture, ses moyens linguistiques. Bref, sa subjectivité.
Le séminaire sera l'occasion d'explorer plus précisément la nature de cette subjectivité mise en oeuvre par l'auteur. particulier.e qu'est le traducteur, et la façon dont cette subjectivité peut être travaillée pour devenir un instrument littéraire.
Discutante / Dorothée Cailleux
Mis à jour le 08 mars 2022